Plusieurs campagnes institutionnelles de sensibilisation

« Sans oui, c’est interdit » est la Campagne de communication lancée en 2023 par le ministère de l’enseignement supérieur dans le cadre du Plan national de lutte contre les violences sexistes et sexuelles dans l’enseignement supérieur et la recherche 2021-2025. Un même message est présent sur toutes les affiches de la campagne: « Le consentement est indispensable avant toute relation sexuelle. Il ne se présume pas. Demandez le consentement à vos partenaires.»

« Ok pas Ok » est une campagne de sensibilisation au consentement à destination des adolescents lancée en 2018 par Santé Publique France. La campagne a été rediffusée à partir du 20 octobre 2019. Il s’agit d’une série de spots de 5 à 7 minutes dans lesquels des adolescents (4 jeunes filles et 1 garçon) racontent leurs expériences personnelles. Les podcasts ont été réalisés par Delphine Dhilly (« Sexe sans consentement », Infrarouge).

Épisode 1 : Raconte l’histoire de Maria, 17ans élève en seconde.

Épisode 2 : C’est l’histoire de Maréva qui rencontre un garçon pendant les vacances. Le récit est positif parce que les relations entre les deux partenaires sont fondées sur le respect et l’écoute.

Épisode 3 : Le témoignage d’Olivier.

Des actions associatives

« Pas de consentement, pas de sexe » est la pétition en ligne lancée en 2021 par l’Association Sexe et consentement afin de prévenir et de promouvoir une culture du consentement en France. L’association milite pour rendre obligatoire la présence d’avertissements et d’informations sur la nécessité d’un consentement libre dans toute publicité, sur les emballages et dans les notices relatives aux produits et services liés à la santé sexuelle et reproductive, au plaisir et aux rencontres.

La pétition est disponible à partir de ce QR code.

« Sans consentement, pas de contes de fées » : Campagne lancée, en 2018, par Amnesty International.

La campagne met l’accent sur l’importance d’un consentement mutuel des deux partenaires avant tout rapport sexuel. Les deux doivent avoir exprimé clairement leur accord.

Dans cette campagne vidéo-animée, Amnesty international s’est inspirée de la polémique sur l’image des femmes dans les contes et les films Disney et s’est appropriée les codes du conte de fées en visant ouvertement les contes les plus populaires comme « La belle au bois dormant » ou encore « Blanche Neige ».